Une nouvelle chronique du camarade Jérémie, qui est actuellement à la recherche d’un logement...
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Le coin de Jérémie
Voici le coin de Jérémie Petit, artiste polyvalent (auteur-compositeur, écrivain, chanteur, juriste) qui se voit ici attribuer carte blanche.
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À toi
29 avril 2008, par Jérémie P. -
Ma vénération
10 avril 2008, par Jérémie P.Nouvelle contribution de Jérémie, qui nous fait partager un de ses (rares mais spectaculaires) élans d’enthousiasme.
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Ingrid, choureuse de bouffe
25 mars 2008, par Jérémie P.De temps à autre, Jérémie éprouve le besoin de nous faire partager son aversion pour le genre humain en général ou certains de ses représentants en particulier.
Et la cible d’aujourd’hui est...
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La peine de mort pour les distributeurs de Direct Soir
16 novembre 2007, par Jérémie P.J’avais prévu de passer une quinzaine de jours sans écrire dans cette rubrique, car j’aurais aimé susciter l’attente, le désir, la fébrilité, de mon lectorat, c’est-à-dire Valentin Villenave. Mais bon, là, il faut que j’en parle. Pour résumer, je pense sincèrement que si le journal Direct Soir avait existé en 1981, la plaidoierie de Robert Badinter aurait été un peu moins convaincante. Enfin, en considérant que Robert Badinter prenait les transports en commun. Pourtant, je trouvais (...)
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Un monde sans Benji
5 novembre 2007, par Jérémie P.Une nouvelle chronique de l’ami Jérémie P. (oui, chez lui c’est chronique). Je peux éventuellement accepter la survie de Nikos Aliagas. Non, c’est vrai, ce côté salut-je-suis-grec-mais-j’apprends-tous-les-jours-une-nouvelle-expression-de- -l’argot-parisien-et-vous-la-ressers-à-18h25, ça ne mérite pas la peine de mort. Ce type-là, Nikos, je peux même vous assurer que si un jour dans un restaurant (non, je ne fais pas du communautarisme, m’imaginer dans un restaurant avec Aliagas ne me (...)
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Ignatius Reilly
3 novembre 2007, par Jérémie P.Voici une première (hem)... contribution de Jérémie P., qui se présente ainsi sous son meilleur jour. Pas plus tard que tout à l’heure, alors que nous étions en train de chater comme deux adolescents puceaux et pré-pubères, je faisais remarquer à Valentin à quel point il était l’image moderne et française du personnage Ignatius Reilly de l’excellent roman « La Conjuration des Imbéciles » de John Kennedy Toole. A savoir : dans le roman, le personnage passe son temps à écrire dans un (...)